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J'AI EXPÉRIMENTÉ LA TRANSE AVEC LA RESPIRATION HOLOTROPIQUE
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J'AI EXPÉRIMENTÉ LA TRANSE AVEC LA RESPIRATION HOLOTROPIQUE

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Voilà quelques temps que je m’intéresse aux états de transe, que l’on appelle plus communément « états modifiés de conscience », tout simplement parce que le terme effraie moins. La transe a toujours joué un rôle capital dans les sociétés dites primitives et antiques. Elle permettait à l’humain d’être en contact direct avec une autre réalité ou fréquence, et d’accéder à de précieux éléments d’ouverture de la conscience, de guérison, d’aide pour lui-même et les autres, voire à une élévation spirituelle. Entre temps les « grandes » religions sont passées par là et ont imposé à nos sociétés leurs dogmes ainsi qu’une grande chasse aux « sorcières ». Résultat, ces pratiques ancestrales furent placées dans la catégorie « sorcellerie & diable » histoire que l’Homme ne s’aventure pas trop à sortir du cadre de la religion bien-pensante, en dehors duquel il aurait pu trouver une forme d'indépendance spirituelle.

J’ai découvert il y a une petite dizaine d’année le Yoga pour me soulager à l’époque d’incessants maux de ventre que j’avais identifiés comme psychosomatiques (j’avais passé tout un tas d’examens cliniques et visiblement, d’un point de vue purement allopathique, tout allait bien). Au fur et à mesure de ma pratique, je m’étais rendue compte qu’une thérapie psy serait également la bienvenue ; je réalisais que mon corps somatisait énormément de choses bloquées dans ma tête. Cette thérapie, qui a duré environ 5 ans à raison d’1h par semaine m’a fait énormément de bien, m’a donné beaucoup d’information sur moi-même et m’a permis d’amorcer la transformation dont j’avais besoin. Cependant, après tout ce temps passé sur le divan, je sentais au fond de moi qu’il m’était impossible d’accéder à certaines de mes zones d’ombre, de mes blocages simplement par la parole. Je disposais de tonnes d’infos intelligibles sur ma personne qui me permettaient de comprendre qui je suis, mes forces, mes faiblesses etc. et pourtant, je sentais toujours au fond de moi beaucoup de colère, de tristesse et de craintes qui régulièrement refaisaient surface sans que je puisse me l’expliquer. Coluche disait : « Les psychiatres, c’est très efficace. Moi, avant, je pissais au lit, j’avais honte. Je suis allé voir un psychiatre, je suis guéri. Maintenant, je pisse au lit, mais j’en suis fier. » J’en étais pas loin.

Lors de mon dernier séjour à NYC l’année dernière, j’ai expérimenté complètement par hasard un workshop de 2h30 de « Breathwork & Sound Bath » avec Erin Telford et Sara Auster au studio Sky Ting ou je donnais plus tôt dans la semaine une session de R&B Yoga. Les filles du studio m’avaient gentiment filé un pass pour venir y pratiquer toute la semaine et ce workshop me faisait de l’œil ; je pensais apprendre de nouvelles techniques de pranayama (les exercices de respiration en Yoga) et profiter d’un délicieux bain sonore avec les bols en cristal de Sara. ET PAS DU TOUT. Je me suis en fait retrouvée dans une expérience complètement dingue : allongée confortablement sur le sol, tout comme les 50 participants au workshop ce jour là, j’allais rentrer en état modifié de conscience sans m’y attendre. Guidés par Erin Telford, guérisseuse des temps modernes, nous y apprenons une technique toute simple d’hyperventilation, accompagnée par des musiques spécifiquement choisies pour l’expérience, et je sens tout à coup les portes de mon inconscient s’ouvrir. Mon corps vibre littéralement, je sens des boules « physiques » d’émotions qui bougent, des flashs d’une situation traumatique que j’avais vécue ado et que j’avais complètement zappée apparaissent devant mes yeux, je ressens une connexion énergétique et émotionnelle avec les toutes les personnes allongées dans la salle comme une espèce de toile d’araignée géante, et j’en passe. Bref, le truc est complètement dingue. Sara Auster prend le relai en faisant vibrer ses bols de cristal et ses autres instruments cosmiques, et c’est tout mon corps qui me se met à vibrer « en anneau », impossible de décrire correctement avec des mots la sensation que je vis à ce moment là, totalement inédite pour moi ; un genre d’orgasme géant de tout le corps, pas mal le truc ! Je ressors de cette expérience complètement ébahie, genre « wow je suis passée dans une autre dimension » et je ne comprends pas trop ce qu’il s’est passé. Le soir même je devais sortir avec un pote ; impossible, ce voyage interstellaire m’avait beaucoup trop scotchée.

De retour à Paris et dans mes séances chez le psy, j’ai cette intuition de plus en plus forte que je stocke en moi des traumas qui me dépassent, qui sont encodés trop profondément dans mon être pour y avoir accès simplement par le verbe. Je sens qu’une technique plus « animale », plus primitive, qui passerait par le corps et par un chemin différent de ma tête consciente pourrait être la clé.

Je cherche alors à me documenter sur ce sujet « Breathwork » mais ne trouve aucun format similaire à Paris. J’en ai pas mal parlé autour de moi, à mes potes profs de Yoga, à mon psy, bref personne n’avait vraiment entendu parler de ce truc. On me parlait vaguement de la technique du « Rebirth » mais cela ne ressemblait pas vraiment à l’expérience que j’avais vécue. Je lis en parallèle sur le chamanisme et notamment sur le travail de Michael Harner, anthropologue et père du Core Shamanism (voir l'article "Rencontre avec le chamanisme") et cela renforce mon intuition : oui il y aurait bien des techniques corporelles d’accès à l’inconscient par la transe. A force de Google bien creusé, je tombe un jour sur cet article de Psychologies.com.

BOUM ! La Respiration Holotropique, je tiens un truc. Le déroulé des séances me paraît bien plus protocolaire que ce que j’avais expérimenté à NYC mais j’y entrevois la même essence. Je prends alors RDV dans le 15ème avec le Dr. Gérald Leroy-Terquem, co-fondateur de l’ICLP (Institut des Champs Limites de la Psyché), référencé dans l’article de Psychologies.com. Gérald est psychiatre, psychanalyste, hypnothérapeute et praticien de la Respiration Holotropique. Pendant mon RDV avec lui, je me rends compte que l’expérience que j’avais vécue à NYC relevait davantage du New-Age que d’une pratique thérapeutique comme cela est dispensé chez eux. Attention, je ne dénigre pas cette première expérience que je prends comme une première petite porte d’ouverture de la conscience. Comme le dit mon ami et confrère hypnothérapeute Yann Lemeux avec qui j’organise nos workshops Yoga x Hypnose, chaque petite porte mène à une plus grande. Bon, à l’ICLP c’est du lourd, du genre grande porte cochère ; le séminaire de Respiration Holotropique se fait sur une semaine intensive. On y pratique l’expérience en binôme - une personne respire, l’autre accompagne le respirant – et à l’issue du voyage holotropique on dessine ce que l’on a vu dans sa transe puis on en discute dans un cercle de parole libre avec le groupe et les 2 thérapeutes qui encadrent l’expérience ; Gérald donc et sa partenaire co-fondatrice de l’ICLP, Djohar Si Ahmed, docteur en psychologie et en psychopathologie, psychanalyste, hypnothérapeute et praticienne de la Respiration Holotropique. Sur le coup je suis un peu troublée par tout ce protocole et Gérald m’invite à lire le livre qu’il a écrit avec Djohar sur leur vision de la psychologie et leurs techniques thérapeutiques et si cela me parle, je les recontacte. Ce livre, c’est « LES PROCESSUS DE GUÉRISON –  Accueillir et déployer ses émotions pour guérir ». Je lis le bouquin, et révélation ; c’est exactement l’intuition sur laquelle je suis depuis quelques temps, voici le résumé au dos du livre :

« Comment penser la maladie ? Comment penser la souffrance du corps ou de l’âme ? Comment penser les voies de guérison ? Après avoir pointé les limites de la pensée médicale sur ces questions essentielles, les auteurs reconsidèrent cette idée longtemps occultée : toute maladie a un sens. Elle n’est pas seulement le fait d’agressions physiques ou psychiques. Elle résulte avant tout de la façon dont nous traitons, en notre for intérieur, les épreuves et les chocs traumatiques subis depuis notre gestation et notre enfance et qui se font écho de loin en loin. Jusqu’à ce qu’un écho plus puissant que les autres ne déclenche la maladie. (…) Pour celui qui est atteint dans son âme et dans son corps, il faut aussi le courage de s’engager dans une démarche où il sera inévitablement confronté à ses démons intérieurs et aux racines mêmes de sa souffrance. Dès lors, la guérison peut advenir. »

En d'autres termes, on stock en nous inconsciemment des trucs pas cool de notre histoire, de notre enfance, de notre famille voire des générations avant nous et de l’inconscient collectif, qui nous mettent mal et si on veut aller mieux, il faut avoir accès à ces trucs pas cool, les regarder en face et les faire sortir pour s’en libérer. Regarder le diable / le mal / ses zones d’ombre / le bad (chacun l’appellera comme il veut) droit dans les yeux ? OK je signe ! Et je m’inscris pour le séminaire de TRH (Travail de Respiration Holotropique) de juillet.

Cela s’est avéré être l’expérience la plus puissante, la plus incroyable, la plus fascinante et la plus thérapeutique de ma vie. Le déroulement est le suivant : nous sommes 8 participants (le nombre peut varier) accompagnés par les 2 thérapeutes et sur la semaine (du mardi soir au dimanche midi), chaque participant va faire l’expérience de 3 séances de respiration de 3h environ, en binôme avec un participant qui l’accompagne dans son expérience. On accompagne également 3 fois la personne de son binôme dans son expérience de Respiration Holotropique. Comme expliqué dans le livre de Djohar et Gérald « Cette hyperventilation, clé d’entrée dans le processus (…) peut durer de quelques minutes à ½ heure, selon les participants, jusqu’à l’entrée dans le voyage intérieur. Celui-ci se déroule alors de lui-même, sans qu’il ne soit nécessaire de poursuivre l’hyperventilation ».

Chaque voyage holotropique est soutenu par de la musique et participe à la dimension rituelle de l’expérience. Le protocole comporte 4 périodes de musiques très spécifiques pour faciliter l’ouverture de l’inconscient : induction (percussions, tambours, musiques ethniques), expansion (des musiques qui évoquent des grands espaces, un sentiment mégalo par ex.), élévation (sentiment de plénitude, chants sacrés) et phase de retour (musique apaisantes). (Petit aparté ici : je comprends mieux maintenant pourquoi je cours mieux, plus vite et moins essoufflée quand j’ai du bon son dans les oreilles ; je me sens comme portée et l’effet est radical dans mon corps et dans ma tête.)

A l’issue de chaque séance de Respiration Holotropique, le respirant s’isole dans une autre salle pour dessiner, peindre, décrire son expérience sur une feuille A4 appelé un mandala. Puis le groupe se réunit à nouveau et chaque personne raconte avec son mandala, son aventure holotropique, ce qu’il a vu, vécu, ressenti, compris dans sa transe et les thérapeutes l’aident à décrypter son expérience, les symboles perçus, les codes de l’inconscient et à intégrer toutes ces données dans la réalité du quotidien. Je suis ressortie de là avec des nouvelles clés incroyables pour comprendre ma psyché, mon pourquoi du comment. Cette expérience m’a permis de voir et comprendre que je tournais avec des programmes obsolètes dans mon inconscient dus à certains épisodes spécifiques de mon histoire qui me sont apparus très clairement durant ma transe. L’inconscient enfouit tout ça bien profond dans l’ombre pour ne pas avoir à y repenser et résultat, sans savoir pourquoi, on peut vivre toute une vie avec un sentiment de mal-être plus ou moins prononcé, comme un sentiment qu’au fond, il y a toujours quelque chose qui ne va pas.

Alors c’est quoi le truc me direz-vous ? En hyperventilant, on expulse plus de dioxyde de carbone hors du corps et cela modifie le pH du sang. Cette action physiologique entraine une modification de l’état de conscience, comme un genre d’interrupteur cosmique qui ferait passer d’une dimension à une autre ; de la conscience ordinaire à l’ouverture des portes de notre inconscient. Cette technique a été élaborée dans les années 60 par le psychiatre Dr. Stanislav Grov, le père de la psychologie transpersonnelle. La vision de Grov est qu’en thérapie il faut prendre en compte toute les dimensions et les expériences de l’être humain pour le comprendre et le guérir (complètement Yoga le père Grov !) : sa tête, son corps, sa psyché, sa spiritualité, ses expériences « paranormales ». Là où généralement en thérapie, c’est plutôt juste la tête, la tête et la tête. Il avait commencé ses recherches en observant les effets du LSD qui induisaient des états modifiés de conscience, et avait découvert que cela permettait d’ouvrir les portes d’un monde intérieur incroyable – dans un cadre strictement clinique et supervisé bien entendu – et d’accéder à un matériel inconscient riche d’infos sur la personne. Puis les hippies sont arrivés, ont foutu le bazar avec le LSD et les autorités ont dit, en gros : « LSD terminé, on remballe vous faites n’importe quoi » (cadeau cet article de Vice "J'ai essayé de me défoncer en utilisant ma respiration"). Du coup le Dr. Grov a creusé du côté des pratiques ancestrales, chamaniques, primitives pour accéder à un état modifié de conscience sans prise de substances et TADAAA : la respiration holotropique est née. Vous l’aurez compris, il ne s’agit pas d’hyperventiler allongé tout seul chez soi avec de la musique, la technique fonctionne et est pertinente lorsqu’elle est correctement encadrée et dont le but est thérapeutique.

Qu’est ce qu’il s’est concrètement passé pour moi durant cette semaine de transe ? C’est très difficile à retranscrire par des mots, tant l’expérience a été au delà de tout ce que j’avais pu vivre jusque là. Cette technique d’exploration intérieure ouvre un accès aux couches profondes de l’inconscient et c’est extrêmement puissant ; pendant l’expérience de transe certains crient, hurlent, se tordent, crachent, pleurent, rient. On ressent physiquement des sensations inédites, on accède à une fréquence parallèle, on a des visions, des flashs d’hyper-lucidité sur son histoire, celle de sa famille, on peut revivre des moments de sa naissance mais la transe peut également rester silencieuse. Quand les thérapeutes voient qu’une personne a du mal à faire sortir quelque chose pendant sa transe, un peu comme un bug d’énergie, ils aident manuellement à faire sortir le « truc » (le blocage, le trauma, l’émotion réprimée ?) en appuyant fermement à différents endroits du corps, comme pour aider la personne à « accoucher » de ce qui la fait souffrir physiquement et / ou mentalement. Un genre d’exorcisme laïc d’une efficacité redoutable.

L’expérience d’accompagnant est également très puissante puisque l’on voie les autres vivre leur transe. Pour moi, voir l’autre traverser tout cela a été la plus grande claque d’humanité et d’humilité jamais prise. La technique fonctionne un peu comme un miroir ; je me rends compte que je souffre, que je comprends la racine de ma souffrance / je me rends compte que l’autre souffre, qu’il comprend la racine de sa souffrance et que finalement on fait partie d’un grand tout, que chaque personne aspire à la libération et à la guérison (J’en place une pour tous mes bouddhistes). Ça fait tout drôle de le voir, de le comprendre, de le vivre et donc de l’intégrer vraiment au plus profond de son être. L’effet du groupe et de ses interactions conscientes et inconscientes fait partie intégrante du processus.

Je ressors de cette expérience avec un tout nouveau ventre ; cette douleur que je me trainais depuis tant d’années et que j’avais réussi à atténuer grâce au Yoga a disparu, remplacée par une sensation agréable de plénitude à cet endroit là. J’ai accès à une source d’énergie nouvelle ; je ne me suis jamais sentie aussi en forme jusque là. Je récupère pleinement quand je dors la nuit et me réveille régénérée le matin. Ma tête a fait une tonne de connexions sur des trucs qui étaient encodés au plus profond de moi et qui me ralentissaient, me faisaient douter sans que jamais je ne comprenne vraiment pourquoi. Je sens que de les avoir compris et traversé dans ma transe, c’est m’en être libérée. Je parie qu’à ce stade vous vous dites « mais qu’est ce qu’elle a VRAIMENT VU dans sa transe? Concrètement il s’est passé quoi ? On veut savoir oh ! ». Je pense qu’il est important de ne pas y mettre trop de mon expérience intime dans cet article car chaque personne a quelque chose de très personnel à y vivre, à y découvrir et aucun voyage holotropique ne ressemble à un autre, c’est que j’ai appris en observant et en écoutant mon groupe de participants.

Est-ce dangereux ? Non. Si cela est trop intense, on arrête d’hyperventiler et les effets s’arrêtent et sont complètement réversibles, point barre. Il faut savoir que notre inconscient est super bien fait, il maintient toujours ce qu’on appelle « l’observateur caché » ; cette partie de nous-mêmes qui reste ancrée dans la réalité même quand on trip. Parfois cet observateur caché se tait un peu pour laisser notre inconscient triper tranquille et l’inconscient faire son taf de guérison. Parfois ce mécanisme intelligent va dire : « ok, là stop, ça fait déjà beaucoup d’infos » et hop, on dé-trip. Donc pas de panique, ne sort durant la transe que ce que chacun est psychiquement capable de soutenir. Certaines personnes peuvent même s’ennuyer pendant l’expérience et il s’agira de respirer au travers de cela pour amplifier la sensation et voir ce qu’il se passe, ce que cet ennui raconte de soi. De chaque expérience il y a un truc à apprendre.

La diversité de parcours, de métiers, d’âges, de personnalités, d’origines des différents participants m’a confortée dans l’idée que sous toutes ces couches de statuts et d'illusions que l’on se créent au fil du temps, on aspire finalement tous à la même chose : se sentir bien, aimé, en sécurité, heureux. Quelle puissante leçon yogique de compassion et de bienveillance envers soi et les autres que cette expérience !

Djohar résume : « La Respiration Holotropique, c’est laisser venir l’expression du corps comme en psychanalyse on laisse venir les mots. Elle renoue avec les traditions thérapeutiques des sociétés dites primitives ». Pour moi, j’ai vécu en quelques sortes une expérience de chamanisme à l’occidentale et il y aura eu un avant, et définitivement un après. J’en ressors avec un nouveau système de fonctionnement. Je continue après cette expérience incroyable à avoir des étincelles de conscience, des trucs qui s’alignent du genre « ah bah oui, tiens je comprends pourquoi j’ai toujours fait ça comme ça, et je vais maintenant faire cela différemment et mieux ».

Believe me or not, ce truc est magique.

 

+ D’INFOS

Pour participer à une session de TRH, un entretien préalable avec un des deux thérapeutes est nécessaire afin d’évoquer ensemble les éventuelles contre-indications : cardiopathies, pathologies psychiatriques, hypertension, glaucome, épilepsie, grossesse.

. Site de l’ICLP : iclppsy.fr  15 rue Bargue – 75015 Paris

Le livre de Djohar Si-Ahmed et Gérald Leroy-Terquem : « LES PROCESSUS DE GUÉRISON –  Accueillir et déployer ses émotions pour guérir »  

. Site de Stanislav Grov : stanislavgrof.com

. Site de Michael Harner : shamanism.org et je recommande notamment son livre « CAVERNE ET COSMOS, rencontres chamaniques avec une autre réalité » 

. Site d’Erin Telford : erintelford.com Erin s’est formée auprès de David Elliott : davidelliott.com qui a écrit notamment le livre « HEALING »

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